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Elise sublimates friendship

The cabin at the end of the field

Elise's love for one of her childhood friends.

The cabin was my castle:

I needed a lady of the manor.

Coming from the town and the hamlet

Sometimes a dozen schoolchildren

would come up for this new game…

It was the kind Germain

Who I elected queen of my castle.

Twelve years later, its sloping roof

Lended a helping hand to my love,

When the storm, one day, in the open field

Caught me not far from her door…

I found Germaine inside!

Our hearts beat so strongly

That I confessed my sweet inclination.

Our cabin with its shaky roof

It shouldn't collapse…

Our children renew it,

The game takes place there.

With Germaine and our children

We laugh at the passing of time

Our love, however, isn't shaky!

But that's why I love so much

Our cabin at the end of the field.

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Fidélité

Élise, une championne d’amitié

pendant toute sa vie

Élise et l’amitié

Elise voit l’amitié commme un don de Dieu :

Et pour finir, et bien, je me suis trouvée une nouvelle amie, à l’hôpital – évidemment, peut-être pas une amie « d’âme », pas pour l’instant toujours. Mais une amie de cœur, et c’est... l’infirmière. Elle a été dès le début si bonne, si compréhensive, si maternelle, que je l’ai aimée tout de suite... et c’était réciproque. Elle me traitait comme sa petite fille et m’embrassait tout les soirs avant de s’en aller : cela m’aidait beaucoup à garder courage, l’affection de cette femme. J’espère bien la revoir (mais pas à l’hôpital) et elle m’a promis de venir me voir aux beaux jours ; elle fait de la moto avec son mari, ils viendraient à Mailly un jour de congé. Voilà ! Tu vois que je ne suis pas à plaindre ! Au fond, le Bon Dieu me traite en enfant gâtée, tu ne crois pas !

Lettre à Victoria

Pour Élise une amitié doit être sincère et ouverte :

Que deviens-tu depuis la fête de la Terre ? Tu semblais si peu brillante que je me demande si ta santé s’est arrangée ou encore aggravée. Au moins, me donneras-tu de tes nouvelles ? Tu es bien capable d’écrire à peu près sans parler de toi ; je t’en prie, raconte-moi très franchement ce qui va et ce qui ne va pas. Ce n’est pas la peine d’être amies, sans cela ! Je sais bien, parfois, on a peur d’attrister les autres ou de leur faire du souci alors qu’ils n’y peuvent rien. Mais on peut toujours prier, et moi j’aime partager les soucis de mes amies comme leurs joies. Alors, c’est promis, dis ?

Lettre à Jacqueline

Those who knew her

Paroles des amies d’Élise

Dessin d’Élise à Victoria